Le Chrétien établi

  • I. La repentance

    I. La repentance Matthieu 3 :2, Marc 1 :15 La repentance est un changement de pensée (metanoeo) La pensée est le terrain de toute la bataille et elle a commencé depuis le jardin d’éden Genèse 3 : 2 le serpent a ainsi injecté un élément dans la tête de Ève qui a produit une bataille En pensée as-tu réellement changé ? as-tu la pensée de christ ? 1 cor 2 :11-16 Il faut qu’il ait un changement de pensée pour avoir la pensée de christ 2-     Changement de cœur (metanolomai) Mat 21 :29-32 ; Heb 7 :21 ; 1 Sam 10 :9 ; Ez 11 :19 A ce niveau je dois avoir un nouveau cœur 3-     Changement du porte-monnaie / mode de vie (métanoïa) Mat 3 :8, 9 :13 ; Actes 20 :21 Pour être une nouvelle créature il me faut une pensée nouvelle et un cœur nouveau et si ces 2 choses ont été effectués alors ton mode de vie va automatiquement changer. Read More
  • II. Croire Dieu ou encore La Foi en Dieu

    III. Croire Dieu (Foi en Dieu)   On ne peut pas dire qu’on a foi en Dieu sans avoir : Une parole Une promesse Une instruction venant de Dieu La foi tire son origine de ce que tu entends. Si donc tu passes ton temps écouter des mauvaises nouvelles alors cela va produire la foi en ces choses-là. Comme je ne peux pas avoir de disciple, je ne peux pas évoluer spirituellement car je ne fais qu’écouter les nouvelles dans ce sens. Soit ma foi est basé sur la connaissance de Dieu soit sur ce que j’entends comme parole/ promesse /instruction. Soit la foi est basé sur le fait de mettre Dieu à l’épreuve, de prendre un risque. Romains 1 :8, 16-17 La foi en Dieu est le troisième point pour être établi en christ. Je ne peux pas dire que je suis justifié par christ sans vivre la vie d’un juste (la foi) Comment ma foi doit-elle être mesurée ? ü  Qu’est ce que je fais pour Dieu ? ü  Qu’elle est l’état de mon cœur concernant les frères ? ü  Comment au quotidien je gère mes difficultés, mes challenges ou mes épreuves ? Quand une personne ne fait plus rien pour Dieu alors sa Read More
  • III. le renoncement aux œuvres mortes

    III. Le renoncement aux œuvres mortes (sanctification) 1 Pi 1 :19-23 L’on a été racheté de notre vaine manière de vivre a un grand prix Il y’a une notion de rachat, de purification et de régénération qui s’impose D’où vient le mot rachat ? En fait dans l’ancien temps on passait d’un ancien temps a un nouveau temps Christ a payé un grand prix pour que nous soyons totalement délivrés de notre vaine manière de vivre hérité de nos parents Le mot purification est attaché à l’amour et ici on ne force personne a se purifier c’est la personne qui le désire Ici on va s’intéresser à la notion de purification car elle est liée à l’amour La purification est un facteur d’obéissance à la vérité (La parole de Dieu) Nombres 22 : 39 Si je ne renonce pas aux œuvres mortes je ne porterai pas de fruit Les richesses que le prophète a vu à corrompu son cœur, il n’avait pas renoncé à ses œuvres mortes (l’argent) Le fait de justifier un péché ou de montrer que tu n’es pas seul prouve que cela est une œuvre morte à laquelle tu dois renoncer Les œuvres mortes sont souvent le péché pour lequel Read More
  • III. La doctrine des baptêmes

    La bible nous parle de 4 baptêmes : 1-     Baptême de repentance (Jean) Marc 1 :4; Actes 13 :24; Actes 19 :4 2-     Baptême d’eau (Baptême au nom de jésus) Matt 28 :19-20; Actes 19 :4-5 Définition : 1Pierre3:21 (l'engagement d'une bonne conscience envers Dieu). Baptême en définition étymologique veut dire "immerger" 1-Un Engagement 2-Exige une bonne conscience : Comment fait on pour avoir une bonne conscience? La bonne conscience est une conscience sans péché, libre de péché, une conscience qui ne nous condamne pas, une conscience aligner sur la parole de Dieu. (Jean1:29, 1Jean 1:7) 3-Et c'est envers Dieu : Pas envers une église ou une réligion, mais un corps 1Cor12:13 (Baptisé dans un seul esprit pour former un seul corps: le corps de Christ =EGLISE) La condition pour être baptiser: avoir une bonne conscience Marc 16:15-16 (croire d'abord et ensuite être baptisé); Jean1:11-13 (recevoir et croire pour avoir le pouvoir de devenir enfant de Dieu et maintenant s'engagé vers  Impact du baptême: Luc7:24-30 (pour que les desseins de Dieu dans nos vies soient valident pendant la durée de notre) Luc 23:39-43 (pour servir Dieu étant sur la terre des hommes) Rom6:1-4 (une identification à la mort et la résurection de Jésus) L'exemple de Jésus lui Read More
  • IV. L’imposition des mains

    IV. L’imposition des mains Lévitique 1 :1-4 Celui qui imposait les mains se faisait par identification et un transfert des péchés de l’homme à l’animal pour l’expiation. La partie du corps intervenant étant toujours la tête Genèse 48 :9-14 Ici l’imposition des mains est faite pour bénir Pour l’imposition des mains il faut un grand et un petit l’un doit être plus grand que l’autre (l’un doit être supérieur et l’autre inferieur) Hébreux 7 :7 C’est le supérieur qui bénit l’inferieur (le plus grand ici étant en effet sur le plan spirituel) Remarque : le transfert de péché se fait d’une personne à une personne ou d’une vie humaine à une vie animale Matthieu 19 :13-15 L’imposition des mains pour prier Pourquoi les parents n’ont pas eux-mêmes demander l’imposition des mains ? Le problème des adultes (des frères et sœurs) c’est qu’ils voient toujours l’autre, ils voient que c’est toujours l’autre qui a besoin de prières mais pas pour eux. Marc 5 :23, 6 :5, 7 :32-35, 8 :23 -        Jésus a juste imposé les mains et la personne fut guéri -        Jésus a d’abord mis la salive puis il imposa les mains et l’aveugle fut guéri -        L’imposition des mains n’est pas systématique car les personnes ont demandé l’imposition des Read More
  • 1

L’impact des noms que l’on donne aux enfants: Bénédiction ou Malédiction

Publié dans Ministère aux familles

Les noms que l’on donne aux gens ont un impact sérieux sur les personnes qui les portent. Une fois de plus cela s’illustre par la nomination, la désignation des enfants de Jacob, chacun d’un nom particulier. (Cf. Genèse29 : 31-35)
« L'Éternel vit que Léa n'était pas aimée ; et il la rendit féconde, tandis que Rachel était stérile. »
Léa devint enceinte, et enfanta un fils, à qui elle donna le nom de Ruben ; car elle dit : « L'Éternel a vu mon humiliation, et maintenant mon mari m'aimera. » Genèse29 : 31-32

Le nom que l’enfant porte devrait être pour la gloire de Dieu !

« L'Éternel vit que Léa n'était pas aimée ; et Il la rendit féconde »
C’est l’Eternel qui prend toujours l’initiative de bénir et c’est à Lui que devrait revenir la gloire pour toute bénédiction et non à l’homme, en aucun cas, en aucune circonstance. Pour l’attribution du nom de l’enfant, tout devrait être également fait pour que toute gloire soit à l’Eternel, au Père tout puissant.

Dans le cas présent, c’est l’Eternel qui « vit que Léa n’était pas aimée ». Tout était parti de Lui, c’est Lui qui prit souverainement et sans contrainte aucune, ni l’exercice de quelque pression que ce soit, l’initiative de donner un enfant à Léa. IL vit que Léa n’était pas aimée. Et c’est Lui seul qui décida autant souverainement de la rendre féconde ; mais ayant enfanté son 1er fils, Léa ne daigna pas le moindre instant songer à rendre grâce à l’Eternel qui venait de bénir son sein. Au contraire, elle ne pensa exclusivement qu’à sa propre gloire, en s’exclamant ainsi « L’Eternel a vu mon humiliation, et maintenant, mon mari m’aimera ».

En disant pourtant que l’Eternel a vu son humiliation, elle reconnaissait fort bien son incapacité à se faire elle-même des enfants. Mais au lieu de rendre donc grâce au Seigneur pour cela, elle s’est plutôt totalement tournée vers elle-même pour ne regarder qu’à sa propre glorification en s’écriant « maintenant mon mari m’aimera ». Ainsi, sa préoccupation ne portait que sur elle-même. C’était d’être aimée par son mari, ce n’était même pas qu’elle aime son mari, encore moins qu’elle aime l’Eternel, mais plutôt, c’était que son mari l’aime.

Il en est de même aujourd’hui, et à plusieurs égards. Lorsque le Seigneur permet à quelqu’un d’accomplir quelque chose, au lieu que cela le pousse à glorifier Dieu, il cultive plutôt le désir secret d’être exalté par les autres. Après un long jeûne, une bonne prédication, une moisson abondante d’âmes, au lieu que la réaction première soit celle d’être reconnaissant envers le Seigneur d’avoir doté le pécheur, le terrestre que l’on est de telles capacités, l’on se met plutôt à nourrir le désir à l’intérieur d’être célébré par les hommes autour de soi. Et c’est ainsi qu’après certaines bénédictions de Dieu, bien des gens se détournent de Dieu, soit pour ne désormais accorder leur attention qu’à la dite bénédiction, soit pour ne se préoccuper plus que de soi même. Ainsi, plusieurs rétrogradent après avoir eu un époux ou une épouse, abandonnent le Seigneur après avoir trouvé un emploi, ou demeurent des personnes au cœur partagé suite à une nomination ou à une amélioration des conditions de vie.
Léa pour sa part, n’avait trouvé comme bonne réaction à la naissance de son premier fils que le fait de lui donner un nom qui signifie : mon mari m’aimera : Ruben. Et ce nom qui n’était pas pour lui une bénédiction ne put le préserver plus tard d’être maudit à la suite de l’acte infâme qu’il posa contre son père et contre Dieu en prenant la concubine du père : il perdit immédiatement le droit d’aînesse : un nom qui en aucun cas ne glorifiait pas Dieu ne put le mettre à l’abri d’une telle malédiction.

Cette recherche de la gloire personnelle dans l’attribution des noms ne s’arrêta pas seulement après la naissance de Ruben. Il en fut de même pour les deux naissances suivantes. La Bible dit en effet, «  Elle devint encore enceinte, et enfanta un fils, et elle dit : l’Eternel a entendu que je n’était pas aimée, et il m’a aussi accordé celui-ci . Et elle lui donna le nom de Siméon. Elle devint encore enceinte et enfanta un fils, et elle dit : pour cette fois, mon mari s’attachera à moi ; car je lui ai enfanté trois fils. C’est pourquoi on lui donna le nom de Lévi ».

A la naissance des 3 premiers fils, les noms ont été donnés pour la gloire personnelle. Ce n’est qu’après la naissance du 4e fils de Jacob que Léa résolut de lui donner enfin un nom qui a fait un impact éternel très positif sur l’enfant : elle a enfin donné à l’enfant un nom qui était une gloire pour Dieu. Ce n’est que l’unique fois où de ses six accouchements elle a été poussée à glorifier le Seigneur.

En effet, elle s’était enfin écriée, d’après ce que la Bible déclare après la naissance du quatrième fils «  cette fois, je louerai l’Eternel, c’est pourquoi elle lui donna le nom de Juda » ( Juda sans ‘s’ ).
Cette fois ! Cette fois ! Cette fois ! Je louerai l’Eternel ! Je louerai l’Eternel !Je louerai l’Eternel : c’est pourquoi elle donna le nom de Juda. Juda : je louerai l’Eternel.
Le nom de Juda a été donné entièrement à la gloire de Dieu. C’est pour glorifier Dieu de bout en bout, du début à la fin, que ce nom a été donné à l’enfant. Dans l’attribution du nom de Juda , la motivation intérieure était de glorifier Dieu. Ainsi, le don de ce nom n’a été en aucun moment et d’aucune manière entachée de motifs charnels, ni d’aucune simulation, ni stimulation pour la gloire ou l’exaltation d’un homme ; mais ( au contraire), cela ne l’a été que pour la gloire de Dieu, de bout en bout, et la gloire de Dieu seul.

Ainsi il n’y avait dans l’attribution de ce nom que de la pureté de bout en bout. La motivation intérieure pour le donner était simple et pure, et le tout pour la gloire exclusive de Dieu. Ce nom de Juda à donc été donné pour exalter Dieu.

La bénédiction, la 1ère des bénédictions des parents pour leurs enfants au moment de l’accouchement, c’est le nom qu’ils leur donnent. Les motivations doivent être pures ; ce doit avoir été une incitation du Seigneur. Ce doit avoir entièrement été l’inspiration du Saint-Esprit.

Est-ce le Saint-Esprit qui t’a révélé le nom que tu as donné à l’enfant que tu as accouché ? Quelle était au fond de toi la motivation réelle pour le don de ce nom ? Etait-ce exclusivement pour la gloire de Dieu ? Ou alors, également pour la gloire de l’homme ?
Si le don du nom l’a été exclusivement et entièrement pour glorifier Dieu, alors tu as béni l’enfant d’une bénédiction éternelle. Par contre, si cela ne l’a pas été pour la gloire entière et exclusive de Dieu, si cela ne l’a pas été pour la seule raison de plaire à Dieu et rien qu’à Lui, alors cet enfant n’a pas été béni.
Tant que le nom donné à l’enfant ne provient pas d’une révélation personnelle de Dieu comme nom devant lui être donné, alors cet enfant n’a pas été béni.

Le nom inspiré par le désir de plaire entièrement à Dieu : son impact dans la protection contre les malédictions.

Juda. Juda. Juda. Ce nom signifie : je louerai l’Eternel et la louange de l’Eternel est demeurée éternellement attachée sur la personne qui à porté ce nom.
Il n’y a rien de particulier qui a dans l’ensemble distingué ce fils de Jacob de ses autres enfants. Et ses mauvais agissements devraient lui avoir valu autant de malédictions que celles que ses autres frères ont connues. Mais au lieu de cela, il en a toujours été miraculeusement épargné. Il a, en effet, souvent été très mal agissant. Il a souvent commis de grandes abominations, et de bien plus grandes que beaucoup de ses frères. Mais la bénédiction du nom reposant sur lui de façon inchangeable, le nom l’a toujours poursuivi pour le bénir continuellement et dévier la malédiction qui aurait pu atterrir lourdement sur lui.

Ses défaillances

Juda avait commis beaucoup de fautes d’entre lesquelles les suivantes :

⦁ Premièrement, Juda a été, sais de jalousie à l’égard de Joseph, celui qui le 1er a suggéré qu’il soit vendu aux israélites. (Genèse37 : 23-28). En cela, il était celui qui s’opposait le plus à l’accomplissement de la volonté de Dieu selon les promesses des songes de Joseph, devant qui parents et frères allaient se prosterner. Non content de ce que Dieu avait ainsi établi les choses, c’est Juda qui le 1er a pris l’initiative d’écarter d’eux «  le faiseur de songes » comme pour mettre Dieu au défi de son accomplissement. Et il y a échappé. Par contre Lévi et Simon qui étaient très violents à l’égard des Sichémites ont été «  désavoués », et pour une seule faute commise Ruben a perdu le droit d’aînesse.

⦁ Deuxièmement, tandis que tous les enfants de Jacob étaient supposés demeurer ensemble et près les uns des autres, Juda fut d’entre ses frères le premier à s’éloigner des autres. Genèse38 :1 «  En ce temps là, Juda s’éloigna de ses frères et se retira vers un homme d’Adullam nommé Hira ». Ainsi, Juda avait entrepris de quitter la compagnie du peuple de Dieu pour s’attacher aux païens, aux incirconcis. Mais il n’en a pas subi la lourdeur de sa faute visiblement peut-être parce que la bénédiction du nom sur lui l’en a épargné carrément.

⦁ Troisièmement Abraham avait fait jurer son serviteur qu’il ne prendrait pas de femme étrangère pour Isaac. Et Isaac, le grand-père de Juda, a dû aller, pour plaire à ses parents, être marié avec une parenté dans la famille, la descendance du frère d’Abraham ; et de même, Isaac a donné à Jacob la recommandation ferme de ne pas prendre de femmes étrangères. Juda, lui, faillit à cette loi. Et dans une certaine mesure, il aurait dû subir ce qu’Esaü avait subi : le rejet par ses parents. Mais tel n’a pas été le cas. Non seulement ses parents ne l’ont peut-être pas rejeté, mais également, Dieu certainement ne l’a pas rejeté. Pourquoi donc ? La bénédictin du nom reposait déjà sur lui : «  Je louerai l’Eternel » rendait toute malédiction nulle et non avenue pour «  (ce qui concernait) Juda. La malédiction ne parvenait pas à avoir de place dans sa vie. Dans un sens, la bénédiction que procure le nom avait déjà tout envahi et pris toute la place et empêchait la malédiction d’y trouver la sienne.

⦁ Quatrièmement, il n’a pas bien élevé ses enfants. Et certainement, les noms qu’il leur a donnés sans que cela l’ait été sous l’inspiration du Saint-Esprit ont été incapables de les préserver de la malédiction ? Er, son premier fils, était méchant aux yeux de l’Eternel : il est mort, Onan également. Pourquoi ? Les enfants n’avaient pas, comme leur père, reçu des noms qui devaient leur garantir la bénédiction et les préserver de toute malédiction. La faute dans un sens était celle du père : mais ce sont les enfants qui ont péri.

⦁ Cinquièmement, Juda a menti à Thamar au sujet de Schéla, et n’a pas apparemment été inquiété pour cela.

⦁ Sixièmement, Juda est allé jusqu’à introduire ou encourager la prostitution en Israël. Il aurait dû être puni pour cela. Car à cause de ce qu’il était dans le cœur un prostitué (influencé certainement par les pratiques qui avaient cours au pays d’Adullam), il est tombé dans le piège de Thamar pour commettre l’inceste en Israël, ce qui ne devait pas se faire (Lévitique 18 :15).

Nous pouvons donc à partir de tous ces cas et bien d’autres voir que Juda a commis un grand nombre de crime qui ne lui auraient pas permis de continuer d’exister. Mais la bénédiction que lui assurait son nom a dû jouer un très grand rôle pour toujours le préserver et le protéger des châtiments et sanctions auxquelles il aurait dû normalement avoir part.

Les bénédictions ayant accompagné ce nom

Nombreuses sont les bénédictions ayant accompagné le nom de Juda. Nous tentons d’énumérer quelques-unes ci-dessous, et plusieurs certainement sont en reste.

Tout d’abord, il importe de noter que les noms ont été donné aux enfants tandis que Jacob se trouvait encore chez son beau-père à Padan-Aram en Mésopotamie, et donc sérieusement éloigné du lieu de résidence finale de ce peuple. Cependant la bénédiction procurée par ce nom a suivi Juda jusque dans la Terre Promise où ils devaient s’établir.

⦁ Premièrement, le Royaume de Juda a été le centre de la vie spirituelle en Israël, et non seulement en Israël, mais bien plus, sur toute la terre.

⦁ Deuxièmement, sa capitale Jérusalem est devenu le Centre de la nation et le lieu où il fallait adorer Dieu, au cœur du Royaume de Juda, à cause de la signification du nom Juda, qui est : je louerai l’Eternel.

⦁ Troisièmement, le plus grand chantre, le plus grand homme de louange que le royaume ait jamais connu est issu de cette tribu et il ne pouvait en être autrement puisque c’est la tribu de « Je louerai l’Eternel ». La louange de l’Eternel à cause de la signification de ce nom ne pouvait mieux se faire que dans le territoire dont la signification du nom fait la prophétie de la louange de l’Eternel.

⦁ Quatrièmement, la ville de Dieu dans les cieux, le lieu de rassemblement de Dieu avec ses serviteurs, le Tabernacle Eternel porte (en toute logique) le nom de Jérusalem, sous la désignation alors de Jérusalem Céleste, ainsi par ailleurs le nom de la capitale terrestre du royaume de Juda. Pourquoi cela ? Evidement du fait de la meilleure correspondance de ce nom par rapport à ce qui sera fait au Ciel. Là-bas en effet, il y aura une louange continue : ce qui est bien l’illustration de Juda, c’est-à-dire je louerai l’Eternel. Et c’est là une bénédiction retentissante découlant du nom qui avait été donné à un enfant à des centaines de kilomètres de ce lieu de résidence final. Le nom qu’on donne à l’enfant a un impact éternel sur lui : quelle grandeur ! Quel honneur ! Quelle bénédiction ! Quand on parvient à se détacher totalement de soi et des intérêts charnels humains pour ne penser exclusivement qu’aux intérêts de Dieu ! C’est la gloire! La gloire ! La véritable gloire.


Mais ce n’est pas encore tout, comme bénédiction suprême ayant découlé d’un nom tout simplement donné à l’enfant et qui signifiait « Je louerai l’Eternel » c’est de Juda qu’est sorti le Messie, l’Oint de Dieu, le Souverain Berger, le Prince du salut et suprême gardien de nos âmes, le Seigneur Jésus-Christ. Et tout cela ne l’a été simplement qu’en raison du nom «  Juda » « Je louerai l’Eternel ». Et à la faveur de la naissance de Christ dans la postérité de Juda, la louange de l’Eternel y a été établie de façon éternelle. Quelle formidable faveur ! Quelle gloire ! L’impact du nom ! L’impact du nom ! L’impact du nom ! Le nom a un impact éternel sur la personne à qui on le donne.

Que comprendre donc de cela.

Que comprendre donc de ceci ?
Tout d’abord, il ne s’agit pas maintenant d’aller donner à tout enfant le nom de Juda ! Il ne s’agit pas non plus de choisir personnellement, de choisir de sa propre initiative des noms de la Bible en raison de leur signification pour les donner à l’enfant, ou aux enfants. Ce serait juste de la chair, de la manifestation de la vaine gloire.

Ce qu’il faut comprendre de cela, c’est que l’on doit toujours s’assurer que le nom qui est donné à l’enfant est une révélation du Seigneur , une inspiration du Saint-Esprit, il faut donc que le nom ait été inspiré par le Seigneur et donné à l’enfant pour plaire entièrement à Dieu, et rien qu’à lui. Il n’y faut point l’intention ne serait ce qu’infime, de plaire ni à la chair, donc à soi, ni à l’homme tout court, qui qu’il soit, tant que ce n’est pas cela la volonté du Seigneur. Il faut donc que le mobile n’ait pas été de plaire à soi, ni à quelqu’autre être humain que ce soit, conduit par la chair. Il faut qu’au fond de son cœur on cherche exclusivement et vraiment, à plaire au Seigneur : ceci bien évidemment non de son propre Chef, mais selon une révélation du Seigneur.

Le nom de Jean (-Baptiste) a été une révélation du Seigneur. Le nom de Jésus également a été une révélation du Seigneur.

Alors tout nom donné devrait être une inspiration du Seigneur. Cela ne devrait en aucun cas être l’œuvre de la chair. Tout ce qui est fait selon la chair ne produira aucun impact. Il faut s’assurer qu’en donnant le nom à l’enfant, que ce nom là soit entièrement et profondément spirituel c’est-à-dire émanant du Saint-Esprit, pour également bénir l’enfant de bout en bout, à la seule gloire de Dieu.

En définitive, tout nom qu’on donne à l’enfant doit avoir été reçu clairement de Dieu et pour Lui. Le nom doit être donné pour faire entièrement plaisir à Dieu, dans les motifs et les mobiles les plus profonds du cœur. Ainsi alors a-t-on à jamais béni l’enfant.

Que la gloire soit à Dieu pour son excellence. Il est excellent ! Il est excellent ! Il est excellent ! Alléluia !

 

Joseph Jacka

Ajouter un Commentaire


Code de sécurité
Rafraîchir

Vie de l'église

Prochains évènements:

Contact Info

CMCI SUD FRANCE
2 Chemin du pigeonnier de la cépière Bat D Rez de chaussé
31100 Toulouse, France

Mail : contact @cmcisudfrance.org
Bureau : +33(0)5.62.17.76.50
Mobile : +33(0)6.60.35.05.81

Zoom  YouTube

 

Conquête du Monde

We Support World conquest 

Portail de téléchargement