Une vie un temoignage

  • De la célébrité à la croix

    Lorsque j’ai eu mon BEPC (Brevet d’Études) je suis allé poursuivre mes études à Yaoundé au Cameroun, au lycée de Biyem-assi (une banlieu de Yaoundé). C’est en classe de 2nde que pour la première fois j’ai fait des avances à une fille de manière solennelle. C’est aussi dans cette classe que pour ma première fois j’ai eu l’occasion d’ouvrir la parole de Dieu car le groupe les GEDEONS (sic : une association de chrétiens distribuant gratuitement des portions de la Bible dans les collèges, lycées, prisons et hôtels dans le monde) nous avait distribué les nouveaux testaments et en plus nous avions un cours de religion. Je me réclamais enfant de Dieu mais mes œuvres disaient le contraire. Je me suis inscrit à la catéchèse pour recevoir le baptême ce que j’ai fait. Pendant que je lisais le nouveau testament, des chocs ont commencé à naître dans mon cœur: je ne trouvais pas la base biblique de certaines doctrines qui m’étaient enseignées comme le signe de croix, le purgatoire… etc. Et je me suis mis donc à me poser beaucoup de questions. J’en ai posé même au curé de ma paroisse qui n’a pu me répondre. De plus en plus j’étais Read More
  • De la religion à Christ

    Je sais que l’Éternel a de grands projets pour moi, sinon je ne serais déjà plus de ce monde. En quelques mots, ma maman avait déjà avorté 3 fois avant moi et je devais être le 4ème. Mais pour une fois le bus était à l’heure ce jour-là et ma maman l’a raté elle s’est donc dit que c’était un signe qu’elle devait garder le bébé et n’est plus partie à l’hôpital. J’ai eu plusieurs accidents de la route et il ne restait rien des voitures. Et moi je n’avais même pas une égratignure. Un jour, le sol s’est effondré devant mes yeux à un endroit où je devais être ; c’est une grosse averse qui m’avait empêché d’être à cet endroit à ce moment-là. Je vous assure, frères et sœurs c’est par la Grâce Divine que je suis encore parmi vous aujourd’hui. En 2008, je venais de me faire arnaquer par une ivoirienne, une de ses amies Camerounaise me demande si je peux aider son oncle qui cherche une adresse. J’accepte de le rencontrer en me disant que je vais le faire payer pour l’adresse et ainsi, récupérer un peu ce que l’ivoirienne m’avait pris. Je le rencontre donc et Read More
  • Une vie vide comblée par Jésus-Christ

    Bien avant de donner sa vie à Christ, nous avons eu un fils, trois jours après l’accouchement, elle a dû voyager pour l’Italie. Loin de moi, elle a pu se consacrer entièrement au Seigneur. De mon côté, étant resté au Cameroun, j’ai continué à lui être infidèle. Un an plus tard, c’était à mon tour de partir pour la France. L’Europe a développé chez moi une grande solitude, et étant très difficile d’avoir des copines, la masturbation s’est amplifiée dans ma vie. Ma relation avec Dieu était inexistante : quand on me parlait de Dieu, l’orgueil m’envahissait et je durcissais mon cœur sous le prétexte que ceux qui me prêchaient la parole étaient des hypocrites qui jugeaient les gens sans connaître leur vie. Et pourtant je savais que la parole qu’ils m’annonçaient était vraie. Je connaissais au plus profond de moi la vérité de l’amour et du pardon de Dieu, mais j’étais encore trop attaché à mes désirs et pulsions pour abandonner. Je me disais dans mon for intérieur que je ne suis pas encore prêt, et qu’un jour, quand je prendrai mon engagement, je suivrai Dieu. Je comptais sur mes propres forces et sur une décision personnelle pour suivre le Read More
  • Fruit d'une vie motivée par Christ

    Mon père nous enseignait la Parole quasiment chaque jour, nous allions en famille très régulièrement dans les conventions évangélique, les nuits de prières des grands hommes de Dieu ( Zacharias Tanée Fomum appelé frère Zach, Jean-Pierre Kembou, etc.). De même, j'étais très assidu à l'école du dimanche et je maîtrisais la plupart des histoires de la Bible par coeur. J'aimais écouter mon père prêcher et quand je me rendais à l'école en semaine, je prêchais avec la même gestuelle à mes camarades. Malgré cette discipline extraordinaire, j'étais un menteur, un voleur, un enfant immoral ... Je savais que tous les pécheurs iront en enfer. Cela était une certitude dans mon coeur depuis mon enfance mais je péchais. Je me rappelle que je convoitais certaines mamans à l'église et j'appartenais à un petit groupe de voleurs de gâteaux. J’étais pourri. Et chaque dimanche quand on demandait qui veut donner sa vie à Jésus, je levais la main et c'était une routine. Certains de mes frères et moi avions développé une philosophie biblique : "Crois au Seigneur Jésus et tu sera sauvé toi et ta famille " et la je me disais papa et maman ont crus alors je suis sauvé rien à faire. En mars Read More
  • Libérée de l'impudicité

    Mes parents nous ont appris assez jeunes qu'il y avait un Dieu et que c'est de Lui que dépendent toutes choses. Nous allions à l'église et participions à plusieurs activités. Papa est enseignant de formation. Pour son travail, nous avons déménagé quelques fois. C'était toujours un déchirement de partir d'une ville et d'un établissement pour un autre. Quand j'ai grandi, vers l'âge de 9 ans, j'ai commencé à lire des livres dits à l'eau de rose type Harlequin. Ils m'ont amené via mon imagination dans le monde de la sensualité et de l'érotisme. J'imaginais les scènes dans ma tête, je créais d'autres scénarios ou j'étais l'héroïne... Vers 14 ans, cela m'a conduit petit à petit à désirer vivre moi même ce genre de vie. J'étais curieuse du sexe mais en même temps je voulais attendre le mariage. Sans mettre le nom sur cela, car je ne savais pas ce que c'était, j'ai commencé à me masturber. A chaque fois, à la fin, je me sentais sale et bonne à jeter, mais je n'arrivais pas à arrêter. C'était bien triste. Mais bon, j'essayais de ne pas y penser. A côté de ça, mes études se passaient bien et je me disais Read More
  • L'éternité est une réalité pas une fable

    J'aimais Dieu et cette pratique avait fait de moi une bonne religieuse jusqu'à ma deuxième année. Je rencontre un jeune homme en classe de première qui me parle de Jésus-Christ.... Ce jour là j'admets mon péché et je crois de manière sincère.... J'avais 12 ans. Nous avons formé ensuite un groupe d'élèves ayant connu le réveil à l'internat. Le Seigneur nous multipliait à tel point sorte qu’il nous était interdit d'avoir des rencontres de prière en dehors des heures de cultes. Nous étions souvent punis, suspendus de cours et pour certains même, renvoyés pour cause de rassemblement sectaire. Mais cela ne nous a pas empêché de croire. Nous recevions de plus des lettres, des magazines des ONG chrétiens et étions encouragés à tenir ferme. J’aimais Dieu et mon souci était d'évangéliser tout mon internat. Jusqu'à mes 17 ans, année de mon BAC, j'ai servi Dieu de manière fidèle, haïssant le péché, et amenant plus d'une trentaine de personnes à Christ dans cet internat. Quitter ce lieu, ayant terminé mes études, m'avait rendu tellement triste car j'avais trouvé une famille et le fait de demeurer ensemble m'avait préservé de beaucoup de chose. Ce qui a poussé mes tantes (les sœurs de Read More
  • Affranchi du masque du moi

    Bien sur a force de passer du temps à regarder la TV cela a ouvert les portes à la paresse : étant donné que je ne voulais pas perdre un bout de films alors je lâchais cette fameuse phrase « Je suis fatiguée » lorsque l’on me demandait de faire quelque chose comme cela se sont les autres qui feront le boulot à ma place. Bien évidemment cela a impacté mon travail scolaire car je ne ramenais pas de très bonne note. Et très vite l’on se mit à me comparer à ma grande sœur qui est brillante et des fois à mes cousins. Au lieu de voir l’amour caché derrière cela, le souci de mes parents de me voir changer afin de me battre j’ai plutôt vu le contraire malheureusement. Et je m'enfonçais de plus en plus. C’est ainsi que le vol a pris place dans ma vie, certes je ne volais pas de grande somme même si ce sont des petites sommes le vol reste le vol. Et il fallait donc bien couvrir tout cela et la meilleure solution que j’ai trouvée c’est le mensonge. Plus je grandissais, plus les choses évoluaient dans le mauvais sens bien sûr. J’ai Read More
  • Délivré du complexe monoparental

    Mon frère aîné, celui qui me précède, était très paresseux à cette époque et pour lui les filles (mes petites sœurs et moi) devaient tout faire. J'instaurais donc une loi: celui qui ne fait pas sa tâche assigné le matin n'a pas “l'argent de beignets”. C'était aussi le début de mes problèmes. Quand je lui refusais l'argent, mon frère me battait. Les voisins intervenaient et on l'obligeait à faire sa tâche. Par la suite je lui remettais l'argent. M'étant habitué à bagarrer avec les hommes, je suis devenue très querelleuse: j'aimais la bagarre avec les jeunes comme les adultes. Avec mes camarades, je prenais des rendez-vous pour des bagarres et puisque je ne m'en sortais, j'allais de bagarre en bagarre et j'attristais le cœur de ma mère. Un jour, une nouvelle voisine est arrivée dans notre quartier et j'ai pensé essayer de la provoquer. Mais je l'avais vu taper une fille et j'ai eu peur. Elle m'a donné rendez-vous ce soir-là puisqu'on allait en classe le matin et revenions à midi pour repartir à 14h. A 14h, j'ai dis à ma mère que j’étais malade car j’évitais la bagarre: j'avais trouvé plus forte que moi. Je ne suis pas allé Read More
  • Le pardon immérité

    Je lui ai demandé si je pouvais l'accompagner, elle ma dit oui tout de suite. Là-bas, j'ai tout de vite été adoptée et admise dans le groupe de la chorale. (C'est de là qu'est née cette passion pour le chant et qui ne m'a jamais quitté) Je me sentais bien dans cette atmosphère, il y avait là quelque chose de différent que je n'avais jamais expérimenté et qui me fascinait. La même période j'ai participé à une grande campagne durant laquelle notre chorale animait. Ma tante a tout de suite contacté ma mère pour lui dire que j'étais rentrée dans une secte. Quand ma mère est arrivée j'ai pu expérimenter ce que c'est que de recevoir le fouet pour Jésus. Bref quand elle est partie après m'avoir fait juré de ne plus y aller, j'y suis quand même retourné.... Tout ceci pour dire que c'est de là qu'est parti le déclic d’un amour véritable pour Dieu. A mes 14 ans je continuais ma marche de petite chrétienne sournoise, mentant, trichant rancunière à souhait , une vraie petite bagarreuse: mon adversaire favorite était ma grande sœur. Je me comparais à elle je lui disais que un an de différence d'âge ne même Read More
  • Mon coeur dur a été changé

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  • L'amour de Christ à combler mon coeur

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  • J’étais un idolâtre, j’idolâtrais mon père

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BATHSCHEBA

Publié dans Les femmes de distinction et de profondeur pour Dieu et son œuvre

Bath Scheba ou Dieu qui restaure.

Son nom apparaît pour la première fois dans 2 Samuel 11: 3. Elle est fille d'Eliam et femme d'Urie le Hethien. Urie est un des vaillants hommes de David (2 Samuel 23: 39). Eliam est fils d'Achitophel un des conseillers de David (2 Samuel 23: 34).

La famille était proche de David et l'avait sans doute épaulé depuis sa fuite devant Saül. Ils avaient de l'influence et étaient respectés (2 Samuel 16: 23).

C'est dans ce contexte qu'a sans doute grandi Bath-Scheba, entourée et éduquée dans le respect de Dieu, des lois.

Un jour, du haut de sa maison, David la vit dans son plus simple appareil. Le regard du roi l'a surpris dans un moment d'intimité. Pourquoi n'avait-elle pas protégé cet endroit?

Je retiens juste une chose: je dois veiller à ne pas laisser un libre accès à mon intimité.

David n'est peut-être pas le seul à l'avoir vu, mais il est celui qui a décidé d'aller jusqu'au bout de sa passion.

En me mettant à la place de cette jeune femme, je me dis qu'il y a dû avoir un bon moment d'égarement. A un instant elle s'est sentie importante et aimée. "Quel honneur que le roi m'appelle". Elle a choisi d'oublier la petite voix de la conscience qui sans doute lui disait de ne pas y aller. Elle a donc choisi de venir vers cet homme et de coucher avec lui. Peut-être s'est-elle dit qu'il n'y aurait pas de conséquences, que personne n'en saurait rien. Mais déjà les différents serviteurs qui avaient été envoyés savaient la vérité.

Peu importe qui se trouve devant, quel que soit l'autorité, mieux vaut suivre la voie de Dieu

Bath-Scheba a eu un geste qui montrait qu'elle était consciente de sa faute: elle s'est purifié de sa souillure (2 Samuel 11: 4). Elle se sentait coupable et a fait ce que prescrivait la loi. C'est une purification physique mais je pense qu'elle était guidée par la culpabilité, comme pour apaiser sa conscience plutôt que de se repentir et admettre son péché.

Je retiens que la culpabilité doit produire une repentance qui mène au salut et non une série d'actes extérieurs pour l'apaiser

Après ce moment discret mais plein de remords, la vie semble reprendre son cours. Mais les semaines passent puis, Bath-Scheba doit se rendre à l'évidence : le "petit écart" avec David ne peut plus être aussi discret car la principale conséquence visible grandit dans son sein. Elle sait que la mort l'attend, une mort de coupable, de déshonneur. Son péché sera connu et elle sera lapidée avec son amant comme le définit la loi. Elle ne sait vers qui se tourner et le temps qui passe augmente le risque d'être découvert. Elle se tourne vers son amant et la conséquence est la mort. La mort de son époux. La mort de son enfant.

Peu importe tout le plaisir passager qu'on peut penser avoir quand on pèche, la mort est le vrai salaire de notre action. Notre mort spirituelle car nous ne voyons même plus la sainteté de Dieu et n'acceptons plus le bien-fondé de Ses commandements. La mort physique qui atteint nos proches et même nous remplit de chagrin. Est-ce que ce plaisir fugace vaut vraiment la peine  de risquer tant? Est-ce que ce "petit mensonge" est utile? Soyons sûrs que peu importe le temps que ça prend, le péché grandit toujours et conduit à la mort

A la mort de son mari, Bath-Scheba l'a pleuré. Je pense qu'au-delà de la perte de cet être cher, il y avait là conscience aiguë d'être à l'origine de cette mort. Quel poids et quel fardeau. C'est ainsi qu'elle devient la femme de David, sa grossesse devait déjà être bien avancée. Il ne fallait pas être devin pour comprendre qui en était le père.

A la différence d'Abigaïl, qui, elle aussi, était veuve en devenant l'épouse de David, Bath-Scheba y est parvenu mais au prix de sa paix.

Quand Nathan reprend David au sujet de sa conduite (2 Samuel 12), tout le peuple a eu la confirmation de ce qui s'est passé dans le secret. Les preuves étaient là, tangibles et la Parole de Dieu était sortie. Pendant 7 jours, Bath-Scheba a prié, espéré, pleuré pour finalement voir son fils mourir. Je ne peux imaginer la douleur d'un parent perdant son enfant.

De ces cendres, de cette douleur immense Dieu s'est servi pour façonner le coeur de Bath-Scheba. Elle mettra plus tard au monde des fils dont l'un se nomme Salomon - Jedidja qui signifie bien-aimé de l'Éternel car la Bible dit "Elle enfanta un fils qu'il [David] appela Salomon et qui fut aimé de l'Éternel"(2 Samuel 12: 24). C'est le prophète Nathan (celui qui avait repris David dans cette affaire d'infidélité) qui va s'occuper de l'éducation de ses enfants2 Samuel 12 :25Il le remit entre les mains de Nathan le prophète, et Nathan lui donna le nom de Jedidja, à cause de l'Eternel. Quelle faveur pour elle qu'un homme, un prophète qui connaît son passé et sa vie, se prenne d'affection pour elle et l'accompagne dans la délicate mission de faire grandir des hommes. Elle a ainsi pu leur donner un cadre droit et imprégné de la présence de Dieu.

Revenir à Dieu nous demande de renoncer à nos positions et à reconnaître quand nous nous sommes éloignés de Lui. Dieu peut changer nos circonstances et nous donner un avenir auquel nous n'aurions jamais rêvé.

Encore une fois, la restauration et la fidélité du Seigneur sont à l'oeuvre.

Un point que j'ai toujours souligné dans cette histoire, c'est la position de Bath Scheba et de David.

Cette servante n'est autre qu'en face du roi, de son maître.

Comme cela peut nous arriver malheureusement, nous pouvons plus craindre les foudres de l'homme que celle de Dieu.

Bath Scheba peut juste regarder à l'instant les conséquences de son refus de se donner au roi. En Bath Scheba, je vois un chrétien chancelant ; qui préfère se purifier (demander pardon à Dieu) que de refuser de pécher.

Le cas Bath Scheba peut se présenter à nous au travail (faire ce que le chef nous demande pour conserver notre poste au lieu de parce que Dieu n'approuve pas), entre couple : faire plaisir au mari ou à la femme même si Dieu réprouve au prix de la paix dans le foyer.... Ce chrétien chancelant peut être toi, moi... Que le Seigneur nous aide.

Rosine

Commentaires   

0 #3 Sara 09-09-2023 09:09
Vraiment JE benis Dieu pour vous.
JE comprends tout.
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0 #2 Administrateur 08-09-2021 10:08
Citation en provenance du commentaire précédent de Akpossan Abe Alexand :
Je viens de trouver en vous une maison d'instruction et d'enseignement. Je reste désormais connecté à votre site. Dieu vous bénisse

Toute la gloire à Dieu! Dite ce qui vous intéresserait de voir ou lire ou entendre dans ce site.
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0 #1 Akpossan Abe Alexand 05-09-2021 10:26
Je viens de trouver en vous une maison d'instruction et d'enseignement. Je reste désormais connecté à votre site. Dieu vous bénisse
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